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 Histoire de Good Luck - Chapitre Premier

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Ciceron
Maître des Clefs de la Cave
Ciceron


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MessageSujet: Histoire de Good Luck - Chapitre Premier   Histoire de Good Luck - Chapitre Premier EmptySam 13 Fév - 19:31

Histoire de Good Luck, Premier Chapitre :

L'Enutrof, le Kama d’Ébène et le Crâ


Après vous avoir préfacé l'histoire de Good Luck, il est temps de raconter les premières quêtes de cette guilde.

L'histoire se déroule quelques temps après la fondation de Good Luck qui je vous le rappelle à été fondée le 30 Fraouctor 639. Nous sommes, au cours de cette histoire, peu de temps après que Djaul ce soit incliné une nouvelle fois devant la puissante et dangereuse Jiva. Oui, vous l'avez compris nous sommes au début de l'année 640. Une belle année qui se profilait car notre bel Enutrof, Kaio comme on l'appelle sobrement, avait trouvé une mystérieuse carte. Un belle pièce trouvé dans un grenier, où il avait été plus ou moins invité à entrer sans que la propriétaire le sache, sur laquelle il était indiqué l’emplacement un étrange artefact. Il s'agissait du Kama d'Ebène. Très peu d'indications lisibles sur cette carte du fait de son mais on pouvait toutefois distinguer le lieu de ce fameux Kama. Cependant, on pouvait lire d'autres inscriptions car le lieu n'était pas facile d'accès. Situé dans le sud ouest de l'Île de Pandala, au coeur même du donjon de Bulbig, que les anciens de nôtre âge nomment Bulbig Brozeur. Pour atteindre cet objet, il faudra donc batailler dur et sans trembler ! Mais en bas de cette carte figurait une inscription parfaitement claire : « Ô toi jeune aventurier, au bout de ce chemin tu trouveras Fort Thune et Gloâre » , il y avait là tous les ingrédients pour motiver notre Enutrof favoris sans que jamais il ne puisse se décourager ! Même si, il faut bien l'admettre, la personne qui a écrit cela doit plus être proche d'un Bwork que d'un Féca lettré et éduqué comme votre humble scribe. Mais soit, il ne pouvait pas laisser passer une aubaine pareille, seul un froussard de Crâ le pourrait.

Histoire de Good Luck - Chapitre Premier 12713910

Notre protagoniste se réveilla un matin de Javian, la fraicheur de Jiva le sorti de son lit doucement, et il se dit qu'il était temps pour lui d'accomplir cette tâche. Il prit sont sac, quasiment constamment collé à son dos -probablement pour éviter les vols- le rempli de tout le pain au blé complet qu'il avait pu fabriquer, même un peu dur ce n'était pas grave ! Une fois ses affaires prêtes, on pourrait presque parler de paquetage, il ouvrit la porte de sa maison avec un grand coup de savate et cria : « Coeur à l'ouvrage n'a pas fière allure ! » . Et sur ces bons mots il prit le chemin de Pandala. Seulement entre Astrub et Pandala la route peut être longue et tortueuse. Et même si ce jeune disciple le savait parfaitement, saurons nous s'il était vraiment prêt pour cette quête ? En prenant le chemin de Pandala, il dût obligatoirement passer par les portes de la ville et ainsi confier sa tâche aux miliciens qui aurait pu, jugeant cela trop dangereux, l'accompagner ou alors l'interdire de sortir. Il s'approcha vers les miliciens, bomba le torse autant que faire se peu (oui, il ne s'agit tout de même que d'un jeune Enutrof) afin d'interpeller les miliciens :

« Bonjour! Je m'en vais accomplir une quête sur Pandala !
- Sur Pandala, toi ? Voyons jeune pleutre, rentre donc au lieu de nous embêter avec des âneries pendant l'apéro. Répondit le milicien saoul.
- Mais je suis fort ! Rétorqua Kaio. J'ai déjà battu le Bouftou Royal ainsi que le Tournesol Affamé, ne me prenez pas pour une bleusaille.
- Qu'est ce que tu veux aller faire à Pandala malheureux ? Tu crois que le Péki est un gentil toutou ? Penses tu que la Maître Pandore à eu son titre de "Maître" au font d'un tonneau de bière ? Dis lui Michel !
- Ouais... hiic... You know nothing Kaio... hic...
- Bon, Michel est pas en forme, il a dû manger un goujon pas frais. Dit le Milicien a demi mot. Écoute moi bien, puisque tu es déterminé, je te laisse y aller. Mais, prends donc cet potion de rappel. Si jamais il t'arrive malheur et que tu sens que la fin est proche utilise là immédiatement. Son pouvoir te reconduira à nous, enfin à Astrub auprès de ta statue de classe, lis l'inscription dessus tiens. On l'aurait bien fait, mais on ne sait pas lire. Prends garde tout de même, cette Île cache encore quelques mystères plus lugubres les uns que les autre. Et méfie toi des villageois, des vieilles querelles demeurent encore en ces lieux. »

Après cette discussion avec ces vaillants miliciens, dévoué à la boisson tâche, il pû sortir de la ville en toute quiétude grâce à la potion de rappel du milicien. C'est avec insouciance que notre dévoué chef prit la route de Pandala ! Il traversa les champs d'Astrub sans se soucier des minuscules bêtes qui demeurait en ces lieux, après tout quant on pourfend le Tournesol affamé d'un coup de pelle on ne se soucie guère de quelques Champ Champ ou autre Moskito. Il continua sa route et arriva dans les carrières d'Astrub où il aperçut quelques malheureux Craqueboule, mais il fallait s'en méfier tout de même car s'ils arrivent en groupe on se retrouve rapidement à ne rien pouvoir faire malgré tout son pouvoir. Après cet obstacle franchit, il pouvait se diriger vers Pandala. Il croisa quelques aventuriers puis fit enfin une pause une fois arrivé au Pont de Pandala. Il prit une collation plutôt frugale, après tout il venait à peine de partir, quel goinfre... Puis il franchit le pont, durant la traversée ce dernier semblait plutôt vétuste, les planches craquaient et une sombre odeur de houblon, malt et autre avoine en décomposition nappait l'air ambiante. Pour accompagné ce triste accouplement d'odeur, l'atmosphère était pesante et une brume épaisse recouvrait à un tel point qu'on ne pouvait distinguer la fin de ce pont. Au loin, on pouvait entendre comme un bruit de rot mélangé à des éclats de rires assez proche de ceux des miliciens d'Astrub d'ailleurs. A chaque pas que qu'il fît, le pont semblait de plus en plus proche de la rupture, de seconde en seconde il se demanda s'il n'était peut être pas tant de faire machine arrière ? L'eau qui croupissait sous ses pieds était vraiment peu accueillante, nous étions loin des belles plages de la Mer d'Asse, avec un aspect gris marron assez familier pour ceux connaissant la Mer Brâkmarienne... Mais il parcourut encore quelques mètres, l'ambiance étant de plus en plus pesante et les sons lointains se faisant de plus en plus menaçant mais soudain, à l'instant même où il allait abandonner, il vit la fin du pont ! Quel coup du destin dira t-on ! Parfois, cela se joue à si peu de choses. N'étant tout de même pas rassuré par l'aspect du pont, il courut prudemment vers la sortie, il voyait la terre, enfin ! Seulement, à peine un orteil fit posé sur Terre qu'il fut alpagué par un Pandawa. Il ne dit rien. Il dévisagea seulement Kaio, et lui tendit un livre rempli d'inscriptions. Sur ce livre il était expliqué comment était la vie à Pandala mais avant tout que chaque individu devait payer une taxe, la Pandrista, s'élevant à 1000 gros kamas sous peine de mourir par tous les autres Pandawa qui encerclaient maintenant le frêle Enutrof. Rien que d'y penser j'en ris encore, imaginez notre avide meneur, commençant tout juste à se faire ses premiers kamas se retrouvant à payer 1000 épais kamas à un inconnu alors qu'il venait ici pour la fortune et la gloire ! C'est tout juste si j'arrive à vous l'écrire tellement je fond en larmes. Cela ressemblait à la plus grosse arnaque jamais vu ! Digne d'Oto Mustam lui même !

Sans aucuns doutes possibles, l'histoire aurait pu s'arrêter là par une mort tragique ou une potion de rappel. Mais la détermination de notre aventurier à la longue barbe était bel et bien sans faille. Cependant, malgré tous mes questionnements je n'ai jamais su comment cette taxe avait été réglée... Surement d'une façon peu racontable, je vous laisse donc libre d'imaginer comment cela à pu se passer. J'ai mon idée sur la question, mais je n'écrirais rien à ce sujet.

Quoi qu'il en soit, l'histoire se poursuit. Mais Kaio était fatigué, malheureusement il ne pû que dormir sur le ventre. Le lendemain il émergea d'un sommeil douloureux et mangea un repas pour se remettre dans le rythme de l'aventure. Même s'il éprouvait quelques difficultés pour marcher il ne rechigna pas à la tâche et se dirigea vers le sud de l'île pour aller, conformément à la carte, dans le Donjon qui abritait Bulbig. C'est à travers de fraiches rizières, qui semblaient à l'abandon, qu'évolue notre héros jusqu'à arriver devant l'entrée du fameux donjon. Mais, alors qu'il s'approchait du but, un groupe de Bambouto attaqua le jeune Kaio ! Seul contre trois, il n'avait pas le choix, il devait essayer de combattre. Il prit sa fidèle pelle et la brandit avec toute sa hargne vers les infâmes créatures ! Une première fois, une deuxième fois, ce fut dur ! Sa pelle du jugement était encore faible... Alors il dégaina quelques pièces et les jeta pouvant ainsi s'éloigner des trois sournois -il a été admis que ces monstres étaient sournois par des branquignoles bontariens car d'après eux quand on se matérialise en tant qu'arbre pour attaquer les aventuriers on ne peut être autre chose, mon avis est plutôt que tous les moyens sont bons pour gagner mais je m'égare- quoi qu'il en soit ce ne fut pas assez ! Un seul périt après tous ces efforts. Et après tout cela, il commençait à fatiguer... Tout à coup, un bruit sifflant se fit entendre  et heurta un des monstres ! Aucun doute, il s'agissait là d'une flèche harcelante ! Damnede, un oreille pointu, quelle honte d'être secouru par un froussard. Mais bon en tant de crise toute aide est bonne à prendre, et notre ami l'a bien compris. Ni une, ni deux, ils s'associèrent pour venir à bout des deux derniers scélérats et d'après les propos de Kaio, ce fût d'une facilité sans nom.
Après le combat, un dialogue assez étrange s'installa :

«Bonjour, et merci pour le coup d'main. A qui ai-je l'honneur ? Et surtout, que fais tu par ici ? Demanda-t-il suspicieusement. Il vit que ce Crâ ne roulait pas sur l'or ; il avait les cheveux gras, un pantalon troué et des chaussures usées jusqu'à la semelle.
- Je me nomme Akato. Ravis de t'avoir aidé ! Pour tout te dire, je suis en mission pour mon clan. Je cherche un objet, et il se trouve dans ce donjon.
- Ah bon, il y a un objet ? Je me demandais justement ce que pouvait contenir ce donjon sinistre. Je me ferais une joie de t'accompagner, en guise de remerciement. »

Le vieux n'était pas dupe, il avait compris une chose : il n'était pas le seul sur l'affaire, et comme tout bon Brâkmarien il savait qu'il y avait deux types de personnes sur le Monde des Douzes : les créditeurs et les débiteurs. Et en tant qu'Enutrof digne de ce nom, il n'était pas question de devenir débiteur. Son plan était clair, rouler dans la farine ce satané Crâ. Ce fils d'oreilles pointues, fils d'une Déesse agaçante, n'y vit que du feu et accepta avec joie. Nos deux comparses commencèrent ce donjon, et à deux arriva très rapidement devant la maître de ces lieux, Bulbig Brozeur ! Le jeune Enutrof commença très fort, il dégaina une pelle massacrante aussitôt qui fît mal à cette branche de céleri géante, le monstre tituba mais riposta aussitôt sur cette vieille bique qui ne pû encaisser le coup. Sa tête percuta une roche qui était ici, il était quasiment KO. Et alors qu'il allait être achevé, Akato lui démontra sa puissance en décochant une flèche des plus redoutables, la fameuse flèche punitive. Le monstre fût KO un instant, le temps pour notre avare préféré de se relever et de se remettre de ses émotions. Il était sauf, mais malheureusement il avait une dette de vie envers ce satané Crâ. Comme disait Oto Mustam : « Arnaquer oui, mais toujours dans l'honneur. » et même si Kaio n'avait encore rencontré le chef de la Cité brâkmarienne, il avait ce sentiment que le Kama d’Ébène serait difficile à voler, car il était plus faible que son ami de circonstance.

Le combat reprit de plus belle, mais de courte durée car même si le gardien de ce donjon s'était relevé, ce n'était que pour un temps. Il charga une dernière fois mais ce fût sans aucune chance : la flèche punitive était chargée. Akato la décocha une seconde fois et Bulbig fut mit hors d'état de nuire. Mais soudain, derrière le cadavre gisant une porte s'ouvrit dans les feuillages. Kaio avait vite fait le lien, le butin était là ! Il se précipita en espérant attraper le Kama d’Ébène pour s'enfuir avec grâce à la potion de rappel distribué par le milicien d'Astrub mais fût stoppé aussitôt. Une flèche d'immobilisation à chaque chevilles, il était au sol. Akato l'observa et dit :

«Tu pensais que je ne savais pas pourquoi tu étais ici ? Tous les aventuriers ici veulent la même chose : le Kama d’Ébène. Mais sur ce coup mon petit, c'est moi qui l'aurait. Tu es trop faible, tu n'as aucune chance face à moi. Cependant, tu m'as bien aidé pendant notre combat, sans toi j'aurais eu beaucoup plus de mal. Pour te remercier, ce ne sont que des flèches d'immobilisations, elles disparaîtront dans une heure à peu près. En attendant, je vais prendre le trésor et rentrer à Bonta ramener cela. Allez, à moi la rich... »

Souvenez vous jeune lecteurs, à trop fanfaronner, on finit pas être la dragodinde de la farce. Quand Akato pénétra dans la pièce il n'y avait pas un seul kama d'Ebene. Que nenni, ils y en avait des milliers. Et oui, c'était évident, ces kamas d'ébène ne valaient pas un clou ! Haha les pleutres, ils se sont fait pigeonner par une carte distribuée aux enfants dans les paquets de céréales ! J'aurais donné cher pour voir leurs têtes. Quoi qu'il en soit le Crâ n'avait pas bougé en une heure, et forcement Kaio avait accouru ne sachant pas dans quelle galère il s'était embarqué. Lorsqu'il entra dans la pièce, il vit la même chose qu'Akato et en tira la même conclusion. Ce dernier fît au jeune Enutrof qui était bien moins riche tout à coup :

« En même temps, c'était dans la titre. Le Kama d’Ébène... Ce sont des kamas de bois ! Rhaa bordel, ils m'ont bien eu ces petits roublards brâkmariens ! On est parti du mauvais pied p'tit.
- Ne m'appelle pas petit, bouffeur de salade.
- Comme tu voudras ! Dit il en s'esclaffant. Mais alors comment suis-je sensé t’appeler, tu ne m'as rien dit.
- Je suis Kaio. Kaio-Beninou. Et j'ai plus un rond. Rajouta-t-il à demi mot.
- Alors dans ce cas nous sommes deux ! Si jamais t'as une idée pour nous refaire la cerise, je te jure de te protéger et de t'aider jusqu'à ce que Djaul et Jiva s'affrontent de nouveau.
- Tiens donc, tu sais parler aux Enutrofs toi. Les services gratuits ça me fait avoir des idées. Bienvenu, tu es donc à mon service ! Prends autant de kamas en toc que tu peux, j'ai peut être une solution, on m'a parlé d'un endroit parfait pour ce genre d'occasions. »

Nos deux jeunes baltringues -totalement fauchés- en avait fini de leurs querelles, ils avaient désormais un but commun : se venger de cette mauvaise farce. Et c'est de cette manière que notre meneur rencontra son bras droit, qui ne l'était pas encore. En voulant l'arnaquer. Fidèle à lui même le bougre. Même durant sa jeunesse. Quoi qu'il en soit, c'est ainsi que ce termine ce chapitre, la suite vous la connaissez.... Ah oui, non, vous ne la connaissez pas, on verra cela plus tard.

Ciceron, passé maître des Sévices
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